
Les p'tits mots dits
Cassandra
Je m’appelle Shawn, j’ai 19 ans, je mesure 6,2 pieds et demi, j’ai les cheveux châtain pâle et les yeux bleus. J’en suis à ma deuxième session au Cégep, mais à ma première en Arts et lettres. Je suis une tête carrée de Val-d’Or avec un nom de famille polonais qui aime faire rire son entourage, que ce soit en milieu scolaire, sportif, de travail, ou même entre amis. Bien qu’on pense de moi que je suis paresseux et toujours endormi, j’adore bouger et faire des sports comme le soccer (que j’ai pratiqué durant 3 ans dans la position centre ainsi que 3 autres années en tant que gardien de but). J’adore aussi la musique, j’ai fait 3 ans de cours de violon et j’ai appris le piano et la guitare peu après.
Adèle
SIMON
Alexandre
Alexandre, un jeune homme de 17 ans, est né à Laval-Ouest en 1996. Il vit au Témiscamingue, où il a effectué ses études secondaires et il étudie maintenant à Rouyn-Noranda au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue en Arts et lettres, dans le profil « Lettres ». Passionné de musique et de littérature, Alexandre est le guitariste/chanteur du groupe d’un musique nommé Silence of Life accompagné de Vincent Lefebvre-Lemire, le second guitariste et Nicolas Richer, le bassiste. Il a également écrit un livre d’horreur/fantastique intitulé Jack Hill, qui raconte l’histoire d’un homme qui se fait plonger dans une aventure aussi captivante que sanglante. Son livre n’est pas encore publié, mais il fera tout ce qu’il pourra pour que son rêve de publication se réalise. Il a plusieurs projets futurs : devenir écrivain, faire une carrière en musique et devenir professeur de français au secondaire. Pour l’instant, seule l’option de professeur s’avère certaine et c’est pourquoi il poursuivra ses études universitaires en enseignement.
En passant par le lac Malartic, la ville de Malartic, la ville de Val-d’Or et maintenant la ville de Rouyn, je peux affirmer que je suis vraiment une fille de l’Abitibi. Dès toute jeune j’étais excentrique mais très bonne élève. Ayant développé jeune un intérêt passionné pour l’Asie (plus précisément le Japon et la Corée du sud) j’avais des intérêts plutôt différents des autres jeunes et j’ai donc toujours été un peu en retrait des autres jusqu’à mon secondaire 5 où mes merveilleuses amies m’ont aidée à m’affirmer et je suis ainsi devenue joyeuse, énergique et impliquée. Je suis également écrivaine, je compose des histoires allant de quelques 30 pages au roman en passant par les poèmes. Douée en dessin et en infographie, l’art a toujours fait partie à part égale avec l’écriture et la lecture l’un de mes domaines de prédilection. Des romans de 600 pages amenez-en, en une semaine je l’aurai dévoré. C’est pourquoi maintenant je suis une élève du programme d’Arts et lettres au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue qui me conduira… vers une profession encore non décidée mais qui sans nul doute mettra à profit mes talents de création !
Même si je ne suis pas une Abitibienne pure laine, je me suis vraiment attachée à la ville de Rouyn-Noranda. Ici, tout le monde se connaît, les gens sont « tricotés serrés ». J’aime les paysages magnifiques aux différentes saisons qu’on ne retrouve pas ailleurs, la fonderie toute illuminée le soir, les spectacles et les activités qui se donnent en région. Je comprends maintenant pourquoi c’est une fierté d’être Rouyn-Norandien. Pour faire une brève description de moi-même, je dirais que je suis une fille travaillante, créative et qui aime s’amuser. J’adore entrer en contact avec les gens, sortir avec mes amis et avoir mille et un projets. Depuis mon entrée au cégep, je fais plein de nouvelles rencontres, j’élargis mes horizons et j’apprends de nouvelles choses à propos de sujets vraiment différents. Je sens que j’ai fait le bon choix en m’inscrivant en Arts et lettres et j’aime beaucoup ma nouvelle vie d’étudiante.
SHAWN
J’ai déjà passé la vingtaine, mais je suis toujours en Arts et lettres au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue. Pour mes parents, ce sont mes expériences de vie qui m’ont rendu responsable. Mes amis croient, eux, que c’est quelques années de dérapage, de perte de temps et de gaspillage d’argent qui ont fini par m’avoir à l’usure. Pour ma part, j’espère que c’est un peu des deux. Entre les Sciences humaines et mon nouveau programme, je suis vite étiqueté comme un élève qui fête, mais les gens qui me connaissent vraiment savent que c’est la fête qui m’élève. Je sais : ça ne veut rien dire mais je trouvais ça beau. De toute façon, il fallait bien trouver quelque chose à écrire. J’avoue que j’espère que ma biographie en a plus devant que derrière…





