Présentation

La première édition du Festival des Guitares du Monde en Abitibi-Témiscamingue a eu lieu en mai 2005. Les fondateurs, Jean-Charles Coutu et Alain Vézina, se sont associés afin de créer, cette année là, un nouvel événement culturel musical à Rouyn-Noranda. Depuis, chaque printemps, le FGMAT gagne en popularité. (Wikipédia, l'encyclopédie libre, 2013, Web)

 

Objectifs de l’association

Ce festival aide à ouvrir les horizons de la population au niveau culturel. On y retrouve une grande diversité de styles musicaux et d'instruments joués. Ainsi, le répertoire musical des specateurs augmente lorsqu'ils assistent aux spectacles. Le FGMAT a aussi pour but de faire connaître des artistes émergents. Plusieurs groupes et artistes très talentueux, mais qui sont malheureusement dans l’ombre, ont la chance de vivre leur moment de gloire durant cet événement qui attire des gens de divers endroits. En effet, en assistant à ces représentations, on a la chance de faire de belles découvertes musicales. Par contre, on accueille aussi des artistes de plus grande notoriété. Par ailleurs, le festival est un événement rassembleur et festif, qui permet à la ville de Rouyn-Noranda de se faire connaître par d'autres villes, provinces et pays du monde.

 

 

Voici quelques artistes ayant foulé les planches

du FGMAT

• The Lost Fingers (2005, 2006, 2007, 2008, 2012) 

• Luc De Larochellière (2006)

• Pavlo (2007)

• Rémi Boucher (2009)

• Tommy Emmanuel (2010)

• Roch Voisine (2011) 

• Laurence Jalbert (2011)

• Vincent Vallières (2011)

• Lucky Uke (2012)

• Patrick Norman (2012)

• Les Doobie Brothers (2012)

 (www.fgmat.com, 2013)       

 

 

 

 

Retombées positives sur la ville de Rouyn-Noranda

Au niveau économique, le FGMAT est l’un des événements régionaux qui rapporte le plus d’argent à la ville de Rouyn-Noranda. Selon l'article de Florence Tison dans La Presse, «Grâce au Festival des guitares du monde, la région a bénéficié l'an dernier de près de 900 000$ en retombées directes et 1,5 million en retombées indirectes». En effet, on y retrouve des spectateurs et artistes du Québec et du Canada, des États-Unis et même de l’Europe. Ces nombreux touristes que l’on accueille font grimper les revenus des hôtels, des restaurants et des entreprises locales de toutes sortes.